La continuelle évolution du monde de la formation

Il y a eu beaucoup d’avancées, surtout ces dernières années, en ce qui concerne la formation sur internet. De la simple mise en ligne de contenu jusqu’à la simulation nomade sur les portables et tablettes. On pourrait les classer de la manière suivante.

Le Learning 1.0

La formation 1.0 ressemble à ce que l’on peut expérimenter dans les cours magistraux. Un professeur sort du contenu pour que l’élève puisse l’assimiler, à la manière d’un poème.

La mise en place de cours sur un serveur de données à disposition des apprenants (PDF/PowerPoint/…) n’est en fait qu’une utilisation d’un outil différent, mais l’aspect pédagogique reste invariablement le même. L’apprenant reste dépendant du formateur.

Le formateur peut alors amener un univers plus ludiques, par l’utilisation d’exercices et d’activités, à rendre ou non, afin de faire participer l’apprenant à un cours plus ludique. Cette méthodologie implique toujours que le formateur est la seule référence possible du contenu. La mise en place de QCM sur le serveur de formation permet alors un aspect plus ludique et permet à l’apprenant de ne pas sombrer dans un sommeil profond comme s’il n’avait que des poèmes à retenir.

Le Learning 2.0

A partir du monde du web 2.0, la manière d’approcher la formation a quelque peu évolué. En effet, les apprenants sont devenus des acteurs participants à la conception du contenu.

Wikipedia est un parfait exemple de ce que peut apporter le socioconstructivisme à un système éducatif. Chaque apprenant peut alors intervenir et partager sesconnaissances, soumis à validation des autres participants et formateurs. Le côté ludique rejoint la pédagogie. On parle alors de principe pédagogique. L’apprenant est obligé de fournir une analyse de son partage afin d’en vérifier l’exactitude et la pertinence par rapport aux objectifs du cours, et, comme dans tout réseaux sociaux, le plaisir de participer à cette activité devient plus grande avec le temps.

Les réseaux sociaux

Facebook, Viadeo, et dernièrement Google+, font partis des réseaux sociaux qui se développent rapidement, par une modération de chaque acteurs. Chacun de ces réseaux, qu’ils soient personnels ou plus professionnels, apportent un réel enjeu dans la formation en ligne.

Ils peuvent servir de publicité afin qu’un maximum de personnes soient à même de se tenir informées sur son existence et ses nouveautés.

De nombreux postes de « community manager » existent, mais de plus en plus de « media social manager » commencent à voir le jour car l’intérêt est réel pour les sociétés qui veulent évoluer.

La capacité d’une entreprise à suivre les évolutions sur les réseaux sociaux est importante, et la formation peut et doit utiliser ces principes de communauté qui sont associés aux jeunes générations.

Le renouvèlement des générations

Depuis l’époque du baby-boom, les générations se sont vues associées à une lettre X, Y et Z pour la dernière. La dernière génération (Z) est la génération qui a maximum 15 ans, ce sont les digitales natives. Né avec internet, celle-ci va avoir une façon d’aborder la formation et l’information différemment par rapport aux précédentes générations.

Ce futur apprenant est un apprenant connecté 24h/24, qui a une habitude de consommateur dès le plus jeune âge grâce à, ou à cause de divers jeux, socialement connecté et constructeur de tout. C’est une génération co-créatrice.

Cette génération utilise, comme si cela avait toujours existé, les outils de communication les plus récents.

Le m-learning

Le mobile est l’outil de communication de base pour ces jeunes générations. Basé sur l’utilisation du téléphone mobile ou d’une tablette comme outils de formation, le m-learning fait partie des outils à ne pas négliger pour les formations.

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